21 mars 2025

Bilan de santé des forêts de France

Région par région, voici le bilan sanitaire des forêts de France métropolitaine en 2024.

Bilan de santé des forêts de France

L’année 2024 a été globalement marquée par une pluviométrie extraordinaire dans de nombreuses régions de France, donc un déficit d’ensoleillement. Si l’humidité a favorisé certaines maladies, et que l’absence de soleil n’a pas favorisé la croissance, la douceur météorologique a plus ou moins contrebalancé ces désavantages. D’un point de vue général, l’épicéa, le châtaignier et le pin laricio sont les essences forestières les plus affectées par les maladies dans la moitié nord du pays, ainsi que dans le Limousin. La forte humidité a également été défavorable au chêne, sensible à l’oïdium.
Voici un bilan général de l’état des forêts pour l’année 2024.

Quel est l’état de santé des forêts de Bretagne ?

Pluvieuse (ce qui n’est pas tout à fait extraordinaire en Bretagne), l’année 2024 a favorisé le développement de certains champignons foliaires, notamment sur des résineux, et des phytophthoras. 
Les chênaies de Bretagne ont, quant à elles, subi des défoliations printanières suivies d’attaques d’oïdium dès le mois de juin. Par ailleurs, sur certaines plantations de Douglas installées sur d’anciennes terres agricoles, des champignons (fomès) ont commencé à se développer. Ils détruisent les racines, voire le collet des arbres. Ce pathogène primaire attaque tous les résineux mais est particulièrement létal sur le pin maritime
Après la tempête Ciaran, le fomès a été diagnostiqué sur de nombreux arbres tombés de plusieurs peuplements de Douglas installés sur d’anciennes terres agricoles, avec un taux d’atteinte de l’ordre de 50 à 75%. 
Pour la reconstitution des zones touchées, il est ainsi recommandé de planter des feuillus ou des mélanges feuillus et conifères moins sensibles, en évitant le bouleau, particulièrement apprécié du pathogène. 
Sur le plan sylvicole, il est préconisé de réduire le nombre ou la fréquence des éclaircies et, dans les cas graves, d'abaisser l'âge d'exploitabilité, le dessouchage ne permettant pas d’atténuer le niveau d’infestation du sol. En un mot, il convient de mélanger les essences et de ne pas précipiter les coupes. 

Si l’encre du châtaignier continue à gagner du terrain, que la maladie des bandes rouges touche toujours le pin laricio et que l’oïdium a sévi sur les chênes, la Bretagne a au moins évité la sécheresse estivale ainsi que les attaques de dendrochtone de l’épicéa.

Source : Pôle santé des forêts AURA - webinaire DRAAF, direction régionale de l'Alimentation, de l'agriculture et de la forêt Auvergne-Rhônes-Alpes

Quel est l’état de santé des forêts des Pays de la Loire ?

D’après le bilan de santé du ministère de l’Agriculture et de la souveraineté alimentaire, l’année 2024 a été marquée par des conditions climatiques particulièrement humides, avec des précipitations abondantes tout au long de l’année, accompagnées de températures globalement douces. L'humidité constante a assuré une disponibilité en eau suffisante pour les racines, tandis que les températures modérées ont permis une photosynthèse optimale, stimulant ainsi la croissance. A contrario, ces conditions ont rendu les travaux forestiers difficiles. Elles ont aussi été idéales pour le développement de certains pathogènes, et tout particulièrement pour les champignons responsables de la maladie de la bande rouge sur le pin laricio.

Le châtaignier et le pin laricio sont ainsi les deux essences forestières qui ont le plus souffert, l’oïdium des chênes ayant également été relativement présent, comme en 2023. Rouille courbeuse, chalarose et rouille du peuplier ont persisté mais sans gravité excessive. 

Pour ce qui concerne le pin laricio, la maladie des bandes rouges peut ralentir la croissance mais n’entraîne pas de mortalité, aucune coupe d’urgence n’étant ainsi à prévoir. 

Quel est l’état de santé des forêts du Centre Val de Loire ?

Le gel tardif a fortement affecté certaines régénérations naturelles de chênes sessiles sur quelques massifs de la région, les rendant plus vulnérables à l’oïdium. Les plantations de pins maritimes ont été fortement affectées par la rouille courbeuse. Les symptômes de la maladie des bandes rouges sur le pin laricio sont très précoces, annonçant sa forte présence, pour la troisième année consécutive.

Là encore, c’est l’encre du châtaignier et la maladie des bandes rouges sur le pin laricio qui sont les plus pressantes, ainsi que la chalarose du frêne. 2024 aura donc été une année comparable à 2023, les précipitations élevées ayant été favorables à la croissance des arbres (peuplements et plantations), mais ayant aussi permis le développement de champignons pathogènes (oïdium et maladie des bandes rouges, rouille courbeuse). 

Le ministère explique ainsi que “le pin laricio peut être maintenu dans la gamme des essences de boisement et reboisement forestier, mais en le réservant aux sols qui lui conviennent le mieux (éviter les sols trop acides notamment), et en limitant les surfaces unitaires de pin laricio pour diminuer localement les taux d’inoculum et diversifier les essences (pin de Salzmann à tester par exemple).”

De son côté, le charme se porte mieux, alors qu’une fructification abondante associée à une forte perte foliaire observée au cours de l’été 2023 avait fait craindre des dépérissements en 2024. Il n’en a rien été, et les charmes ont profité des bonnes conditions climatiques. 

Quel est l’état de santé des forêts de la région Auvergne-Rhône-Alpes ?

2024 a été une année chaude, dans cette région, avec des températures moyennes supérieures aux normales saisonnières, un épisode de gel fin avril, deux courtes vagues de chaleur estivale, une fraîcheur automnale en septembre et une douceur automnale dominante. 
Alors que la température moyenne de la France a été de + 2,7°C, elle n’a été que de 1 à 2°C de plus que la moyenne en Auvergne-Rhône-Alpes. Là encore, l’ensoleillement a été déficitaire et la pluviométrie excédentaire.

Le scolyte typographe a continué de ravager les épicéas. Un système de piégeage a été mis en place. Dans la région, 1 800 000 m3 de volume de bois a été détruit à cause du scolyte depuis 2018. En 2025, le Massif central devrait être à peu près épargné, tandis que l’épidémie se développe férocement dans l’Ain et dans les Alpes (Isère, Savoie, Haute-Savoie).

Les vieilles sapinières de moyenne altitude (moins de 900 mètres), qui ont été fragilisées par les sécheresses de 2022 et 2023 sont, quant à elles, affectées par les scolytes pityokteines (insecte) et peut-être le fomes (champignon). L’ouverture brutale de ces forêts est un facteur de fragilisation supplémentaire. 

Source : Pôle santé des forêts AURA - webinaire DRAAF, direction régionale de l'Alimentation, de l'agriculture et de la forêt Auvergne-Rhônes-Alpes

 

En Haute-Loire, c’est le pin sylvestre qui souffre, notamment à cause de la sécheresse très intense de l'automne 2023. 

Le Douglas, quant à lui, résiste plutôt bien aux derniers à-coups climatiques. Dans cette région aussi, la maladie des bandes rouges affecte de façon virulente les pins laricci. 

Le chêne demeure, quant à lui, en situation de fragilité à cause des sécheresses, de l’oïdium et de l’arrivée du tigre du chêne (punaise réticulée).

Le hêtre est très affecté dans les plaines avec un fort déficit foliaire, tandis que la chalarose du frêne gagne du terrain. 
Le châtaignier est victime de trois plaies : l’encre, le chancre et le cynips. Son déficit foliaire est également en fort accroissement. 

La pyrale du buis, elle, fait son retour dans l’Ain et dans la Drôme.

Pour ce qui est des plantations forestières, le taux d’échec a été assez bas sur la région, en 2024 (un peu plus de 4%, contre 16% en 2022), et le taux de reprise très bon (+ 96%).
Le Douglas reste l’essence de plantation largement dominante (35%), en recul toutefois, depuis 2007, au bénéfice du mélèze d’Europe et d’essences résistantes telles que le pin maritime, le cèdre de l’Atlas, le chêne rouge, le chêne pubescent et le chêne chevelu. 

Source : Pôle santé des forêts AURA - webinaire DRAAF, direction régionale de l'Alimentation, de l'agriculture et de la forêt Auvergne-Rhônes-Alpes

Quel est l’état de santé des forêts du Grand Est ?

Depuis 2018, le Grand Est traverse une crise de scolytes sur les forêts d’épicéas sans précédent. Depuis 2021, année particulièrement pluvieuse, la situation s’améliore sur la majorité de la région, avec toutefois des foyers encore très importants dans les Ardennes jusqu’en 2023. La pluviométrie largement excédentaire depuis le début de cette année 2024 semble perturber les essaimages et se trouve être très favorable aux arbres dans la majorité des cas, leur permettant de réagir positivement aux attaques de typographes. 

Ces derniers ne volant pas lors de pluies soutenues, le gros pic d’envol habituellement constaté fin avril/début mai n’a pas été observé à cette période (ce qui n’exclut pas que des premiers envols aient eu lieu avant, pendant les périodes de chaleur). 

La température clémente du printemps (comparable aux printemps 2018 et 2023) a, en revanche, potentiellement favorisé cette espèce. 

Ainsi, la situation s’améliore, globalement, pour les épicéas et les sapins, mais reste difficile pour le chêne, où il semble persister un mouvement de dégradation enclenché depuis 2022. 

Selon Fibois, “après un pic épidémique atteint en 2020, les volumes de bois scolytés sont en constante baisse. Certes, cela est en partie dû à la chute drastique des surfaces d’épicéa, mais même dans les Vosges et les Ardennes où des surfaces conséquentes de pessières persistent, les bois scolytés sont en très nette baisse.  Il ne faut cependant pas occulter la subsistance de foyers, parfois importants, qui montre que le retour à l’endémie n’est pas encore tout à fait atteint”.

Concernant les sapins, les scolytes sont très dépendants des conditions météorologiques, aussi les épisodes pluvieux ont-ils permis de limiter le bois scolyté. 

L’état sanitaire du hêtre semble se stabiliser, après une forte dégradation en 2022 et une nette amélioration en 2023. 

L’oïdium du chêne a été favorisé en 2024 par une humidité atmosphérique régulière et les dépérissements sont toujours en hausse sur cette espèce.

La chalarose du frêne continue de faire des siennes, mais il est recommandé de pratiquer des coupes de façon très réfléchie, car certains arbres tolèrent la maladie et qu’il faut tâcher de conserver cette essence au sein des forêts.

Quel est l’état de santé des forêts des Hauts-de-France ?

2024 a été une année douce et humide avec un déficit chronique d’ensoleillement, favorable à la végétation et aux champignons pathogènes mais défavorable aux insectes. Il en a résulté un allongement de la saison de végétation, et des engorgements de sols forestiers, notamment dans le Pas-de-Calais, limitant les travaux sylvicoles et l’exploitation, un vol du hanneton contrarié par la météo, alors qu’il était attendu cette année (il émerge des sols sableux tous les 4 ans pour se reproduire au printemps et défolie les chênes). 
L’encre du châtaignier continue de gagner du terrain vers le Nord. Les attaques de scolyte typographe se poursuivent sur les derniers importants peuplements d’épicéas de Thiérache. Des défoliations printanières, suivies d’attaques d’oïdium dès le mois de juin, affectent localement les chênaies de la Thiérache et de l’Avesnois. 

Dans la région, on s’attend par ailleurs à un très fort impact de la maladie des bandes rouges sur le pin laricio de Corse. 

Beaucoup de chênes ont dépéri des suites de la succession des étés chauds entre 2016 et 2022 et des défoliations sévères de la processionnaire du chêne (15 000 m3 récoltés).

Alors que plus de 300 000 m3 d’épicéas scolytés ont été récoltés dans la région ces dernières années, la disparition de cette essence dans la région est annoncée.

Quel est l’état de santé des forêts en Nouvelle-Aquitaine ?

Dans la continuité de 2023, 2024 a été une année particulièrement arrosée, globalement chaude mais sans excès. Il n’y a pas eu d’événement climatique majeur, excepté un gel printanier tardif. 
Ces conditions ont permis un bon état physiologique des arbres, facilitant leur résistance aux problèmes sanitaires dominés par des maladies d’origine cryptogamique, en raison de l’humidité.
Les résineux occupent toujours une place prépondérante dans les observations, avec près de 80% des signalements opérés lors de la veille sanitaire. La principale problématique demeure celle des pourridiés racinaires (armillaire et fomès).

Dans cette région également, la maladie des bandes rouges sur les pins laricci a été forte, favorisée par les nombreuses précipitations. 
S’agissant des essences feuillues, les diagnostics sanitaires réalisés concernent majoritairement les chênes avec une présence d’oïdium généralisée. La punaise réticulée du chêne fait désormais partie des insectes régulièrement observés sur les chênes mais on peut signaler cette année la confirmation de dégâts sur les peupliers attribués à une autre punaise : la punaise diabolique. 

Malgré tout, pour la deuxième année consécutive, le nombre total d’observations sanitaires des correspondants-observateurs régionaux a été en baisse, attestant un état sanitaire globalement satisfaisant des peuplements forestiers de la région Nouvelle-Aquitaine. 
La vigilance demeure toutefois car, localement, certaines essences sont en souffrance (châtaigniers, frênes, sapins…) et la menace de ravageurs introduits tels que le nématode du pin reste prégnante.

Quel est l’état de santé des forêts du Limousin ?

L’année 2024 a été marquée par une forte pluviométrie et une importante humidité atmosphérique dans la région Limousin. La tempête Caetano a eu des impacts locaux entre le 21 et le 25 novembre. 

Les dépérissements sur les Douglas sont imputés aux coups de chaleur et sécheresses des années 2018 à 2023 (excepté 2021). 
Les plantations de chênes ont été attaquées par la tordeuse verte (chenille), et le scolyte typographe a fait des siennes sur les épicéas. 
L’oïdium du chêne a été virulent dans toute la région, la maladie des bandes rouges, ici comme ailleurs, très marquée sur le pin laricio. 
Les mélèzes ont également été attaqués par des pathogènes foliaires. 

Le sapin de Vancouver est en voie de disparition, dans la région Limousin, mais le sapin pectiné et le pin sylvestre sont bien portants. Le chêne rouge d’Amérique se porte bien, également. 

Quel est l’état de santé des forêts de Corse ?

En 2024, les conditions météorologiques ont été plutôt favorables aux peuplements forestiers de Corse. Le printemps a été bien arrosé et les pluies de fin d’été ont limité les effets de la sécheresse.  

L’année 2024 marque une forte gradation de bombyx disparate (papillon) sur le territoire insulaire. Avec plus de 5000 ha défoliés dans des zones non historiquement touchées, ces attaques ont suscité un vif émoi auprès de la population concernée. 
Si ces défoliations ont été très visibles de mai à juillet, la végétation (principalement les chênes verts) a reverdi dès le mois d’août et a permis d’atténuer l’impact paysager.  

Ce qui inquiète les observateurs, c’est l’état général de la suberaie (plantations de chênes lièges) corse et de l’augmentation des dépérissements en basse altitude (de 0 à 200 m). Il convient donc d’en tenir compte lors des opérations de levée de liège. Le ministère affirme qu’il appartient aux propriétaires et à l’ensemble de la filière d’être particulièrement vigilants sur sa mise en œuvre. 
Les dépérissements restant multifactoriels, il est important de ne pas cumuler les facteurs d’affaiblissement des peuplements et stress des arbres dans un contexte déjà défavorable (ex. travail du sol ou démaquisage et levée de liège).  

La cochenille du pin maritime (Matsucoccus feytaudi) semble présente sur la quasi-totalité des massifs insulaires de pin maritime. Il s’écoule généralement plusieurs années entre la première capture des insectes et les dégâts avérés sur les peuplements (entre 5 et 10 ans). 

Un nouveau foyer de la maladie des bandes rouges sur pin laricio a été découvert dans le Fium’Orbu. 

Quel est l’état de santé des forêts dans les Hautes-Alpes ?

En 2024, les températures relevées étaient de nouveau supérieures à la moyenne. Néanmoins la pluviométrie largement excédentaire a été plutôt favorable à la santé des arbres. 

Pourtant, l’état sanitaire s’est dégradé pour quelques essences situées dans des contextes pédoclimatiques défavorables : 
• Sapins pectinés dans le Buëch et le Rosanais.
• Pins sylvestres dans le Briançonnais.
• Mélèzes dans le Dévoluy.

La mortalité devient sérieuse dans les sapinières des Alpes du Sud, à cause des sécheresses à répétition, des canicules et des attaques de gui.

La situation du hêtre est stable et les symptômes de la chalarose du frêne sont discrets, les pins sylvestres sont affectés par la chenille processionnaire du pin. 

Globalement, la situation des forêts des Hautes-Alpes est plutôt bonne.

Quel est l’état de santé des forêts dans les Pyrénées-Atlantiques ?

Après des années difficiles, 2024 a été une bonne année pour la végétation, avec des températures estivales normales, et des précipitations régulières, notamment au printemps, dans les Pyrénées-Atlantiques

Les principaux problèmes relevés par les observateurs sont la maladie des bandes rouges et les chenilles processionnaires sur le pin laricio, dont l’état sanitaire est mauvais quoique stable. Les autres essences affectées par des maladies ont un état moyen ou bon, en stagnation : pin maritime, mélèze, chênes pédonculé et sessile, hêtre, châtaignier, frêne, chêne rouge, peupliers.  

Conclusion

Les effets multiples des dérèglements climatiques affaiblissent notablement la forêt française depuis plusieurs années, voire plusieurs décennies. Dans certaines régions de France, les effets des sécheresses du début de la décennie 2020 commencent tout juste à se faire sentir. Si 2024 a été une meilleure année que les précédentes, pour nos forêts, il faut s’en réjouir mais ne pas s’en tenir là. Sans une gestion sylvicole durable qui prenne en compte l’adversité climatique et la multiplication des attaques de champignons et d’insectes, parfois exotiques et, dans tous les cas, démultipliés par le brassage des flux mondiaux, la forêt française n’ira que s’affaiblissant. 
Il est ainsi urgent de renoncer à un mode de sylviculture purement productif, de veiller au mélange des essences et à intégrer de plus en plus d’essences résistantes, quitte à planter des essences exotiques comme le chêne rouge, le cèdre de l’Atlas, le pin de Salzmann…
 

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