


Agir globalement, sur tout le territoire
Assurer la continuité écologique
Maintenir les services écosystémiques
Un impact global et social

Plantation sur forêts dégradées
Réduction des risques naturels
Captation carbone
Restauration de la biodiversité et des habitats naturels

Implantation de ruches et de haies
Améliorer la productivité agricole
Maintien des écosystèmes diversifiés
Assurer la santé des pollinisateurs

Restauration, création de mares
Épuration de l'eau
Prévention de l'érosion et des inondations
Préservation de la biodiversité

Plantations d'arbres, des haies, de vergers
Améliorer la santé et fertilité des sols
Captation carbone
Soutenez les communautés locales

Restauration d'herbiers de posidonies, mangroves
Maintien des puits de carbone
Limiter l'érosion, éviter les submersions
Restaurer la biodiversité marine
Depuis septembre 2020, H&M reverse les ventes HT de ses sacs en papier à EcoTree, soutenant ainsi plus de 20 projets de biodiversité en France. Parmi ces projets, H&M participe à la restauration de 2 zones humides à Langoëlan (1,4 ha) et à Ploërdut (2,1 ha), l'installation et la gestion de 247 ruches et de 100 nichoirs, la création de 2 sentiers pédagogiques à Pézarches et à Sarran, 3 opérations de dépollution sous-marine près de Marseille et Saint-Tropez, la restauration de la forêt incendiée de Marzols à Moustiers-Sainte-Marie, la plantation d'un verger sauvage à Langonnet , ainsi que la création d'une prairie fleurie à Préaux.

Depuis 2019, XBEE Enzyme Fuel Technology s'est associé à EcoTree pour parrainer quatre ruches en France, dans les forêts de Châtelain et Plouray. L'entreprise, originaire de Bretagne, a planté plus de 50 arbres dans la région dans le cadre de ses efforts en faveur de l'environnement local.
« Nous sommes très heureux de ce partenariat avec EcoTree, heureux d'aider les abeilles et les arbres dans cette belle région, et heureux d'en faire plus pour notre environnement ! »
– Ronan Pennec, PDG de XBEE

Rubel & Menasché s'est associé à EcoTree pour créer une prairie fleurie de 500 m² à Lalacelle, en Normandie, le long d'un ruisseau bordé de terres agricoles. Ancien pâturage, le site offre désormais une source de nourriture vitale pour les pollinisateurs sauvages. La prairie contribue également à la rétention des sols, embellit le paysage et favorise la biodiversité grâce à une utilisation plus variée des terres.

Pour célébrer son 30e anniversaire, Danival a lancé la campagne #TousEngagés. Pour chaque produit acheté dans leur chaîne de supermarchés Naturalia, 50 centimes ont été reversés à EcoTree afin de soutenir des initiatives agroforestières. Ce financement a permis à une exploitation de champignons biologiques de 8 hectares de passer à un modèle agroforestier, restaurant ainsi la biodiversité et améliorant la résilience du paysage agricole.


Nous définissons ensemble le projet que vous voulez soutenir et la manière dont il valorisera votre entreprise.
Tous nos projets sont centrés sur les écosystèmes forestiers - ils sont suivis et supervisés par des experts.
Chaque année, un rapport vous est envoyé, détaillant l'avancée du projet auquel vous participez.
Les projets sont menés à long terme. Nous surveillons et vous informons de leur évolution sur le long terme.
Notre gestion durable des forêts séquestre du carbone et endigue l’érosion de la biodiversité. Elle s'inscrit dans le cadre de la loi pour la reconquête de la biodiversité et participe à la lutte contre le changement climatique.





La biodiversité n’est pas un “bonus” écologique : c’est l’infrastructure invisible dont dépend une grande partie de l’économie. La Commission européenne estime que plus de la moitié du PIB mondial, soit environ 40 000 milliards d’euros, repose directement sur les services rendus par la nature (eau, sols, pollinisation, régulation du climat, matières premières…).
Les évaluations récentes montrent que la dégradation de la nature pourrait coûter jusqu’à 25 000 milliards de dollars par an à l’économie mondiale, alors qu’une action rapide pour restaurer la biodiversité pourrait générer 10 000 milliards de valeur économique et 395 millions d’emplois d’ici 2030.
Les rapports du World Economic Forum classent désormais les risques liés à la nature (perte de biodiversité, effondrement des écosystèmes, crise de l’eau) parmi les menaces majeures pour les dix prochaines années, au même niveau que les risques géopolitiques et technologiques.
Pour une entreprise, se saisir du sujet biodiversité n’est donc plus seulement une question d’image, mais de résilience, de gestion des risques et d’anticipation des futures réglementations.
La perte de biodiversité expose l’entreprise à quatre types de risques majeurs :
- Risques opérationnels : rupture d’approvisionnement, baisse de qualité des matières premières, hausse des coûts (eau, énergie, intrants). Par exemple, l’agriculture, l’agroalimentaire, la cosmétique ou le textile sont directement vulnérables à la dégradation des sols, à la disparition des pollinisateurs ou à l’érosion génétique des cultures.
- Risques financiers : dépréciation d’actifs situés dans des zones vulnérables, hausse du coût du capital pour les acteurs très exposés, pression croissante des investisseurs qui intègrent les risques “nature” dans leurs décisions.
- Risques réglementaires : la montée en puissance de la CSRD, de la taxonomie européenne, des obligations de devoir de vigilance et des cadres comme la TNFD rend de plus en plus obligatoire l’analyse des impacts et dépendances à la biodiversité.
- Risques de réputation et de marché : les études montrent que 81 % des Français considèrent que les entreprises ont un impact négatif sur la biodiversité, et 67 % jugent que les actions annoncées ne sont souvent qu’un prétexte de communication.
Ne pas intégrer la biodiversité dans sa stratégie, c’est donc accepter un cocktail de risques : opérationnels, financiers, réglementaires et réputationnels.
La première étape consiste à cartographier les dépendances de l’entreprise à la nature : eau, sols, matières premières, services écosystémiques, chaînes d’approvisionnement critiques. Des outils et cadres méthodologiques se sont structurés en Europe pour aider les entreprises à le faire (guides sectoriels, grilles d’analyse, benchmarks).
Ensuite, il s’agit d’évaluer les impacts : artificialisation des sols, fragmentation des habitats, pollution, surexploitation des ressources, contribution à la déforestation importée, etc. Les travaux de l’IPBES et de l’Observatoire national de la biodiversité fournissent des référentiels et des jeux de données pour comprendre ces pressions et hiérarchiser les enjeux.
Concrètement, une entreprise peut :
- intégrer la biodiversité dans son analyse de double matérialité (CSRD) ;
- utiliser des outils d’évaluation d’impacts et de dépendances “nature” proposés par des coalitions comme Entreprises & Biodiversité ;
- s’appuyer sur des cadres émergents (TNFD, SBTN) pour structurer sa feuille de route.
L’enjeu n’est pas de tout mesurer dès le premier jour, mais de construire progressivement un diagnostic solide pour prioriser les actions les plus pertinentes.
Préserver la biodiversité, ce n’est pas seulement “planter des arbres”. Une stratégie crédible combine plusieurs leviers :
1. Réduire les pressions négatives :
- revoir les achats (matières premières, emballages, alimentation) pour limiter la déforestation importée et la destruction d’habitats ;
- réduire la pollution (plastiques, rejets, intrants chimiques) et l’artificialisation des sols ;
- intégrer des critères biodiversité dans les cahiers des charges et appels d’offres.
2. Agir sur les sites et territoires de l’entreprise :
- renaturer les friches et espaces verts, désimperméabiliser les sols, recréer des corridors écologiques ;
- gérer différemment les espaces extérieurs (fauche tardive, haies, mares, plantations diversifiées, zéro pesticide) ;
- travailler avec les collectivités et acteurs locaux pour des projets de territoire.
3. Financer des projets de restauration :
- projets de restauration de zones humides, de forêts, de haies ou de milieux côtiers ;
- programmes de Solutions fondées sur la nature portés par des acteurs spécialisés comme EcoTree, avec indicateurs de résultats et suivi écologique.
Les rapports récents montrent pourtant qu’une majorité de grandes entreprises restent encore très en retard sur ces sujets, notamment en matière de déforestation ou d’objectifs biodiversité clairs.
Se lancer tôt permet donc de prendre de l’avance et de se différencier.
Climat et biodiversité sont intimement liés, mais ce ne sont pas les mêmes enjeux :
- Le climat se mesure principalement via les émissions de gaz à effet de serre (CO₂, CH₄, etc.) et se décline dans des trajectoires “net zéro” avec des budgets carbone.:
- La biodiversité concerne la diversité des espèces, des gènes et des écosystèmes, la qualité des habitats, des sols, de l’eau, et l’ensemble des interactions vivantes dont dépend l’économie.:
Les derniers rapports de l’IPBES soulignent qu’on ne peut plus traiter le climat d’un côté et la biodiversité de l’autre : les deux crises s’alimentent mutuellement et demandent une réponse intégrée.
Pour une entreprise, cela signifie que ::
- une politique climat ambitieuse ne suffit pas si, dans le même temps, les activités détruisent des habitats ou aggravent l’érosion de la biodiversité ;:
des projets “nature” (forêts, zones humides, solutions fondées sur la nature) peuvent apporter une réponse aux deux enjeux : atténuation du climat et adaptation / résilience des écosystèmes.:
En résumé : le carbone est un indicateur, la biodiversité est le système vivant qui permet à l’économie de fonctionner.
La biodiversité touche directement le sens que les collaborateurs donnent à leur travail. Les enquêtes montrent que plus de la moitié des employés sont attentifs aux enjeux environnementaux, et que les jeunes générations se déclarent particulièrement concernées et bien informées sur ces sujets.
Pour embarquer les équipes, une entreprise peut :
- organiser des ateliers de sensibilisation sur les liens entre métier, chaîne de valeur et biodiversité ;
- proposer des actions concrètes de terrain : participation à des chantiers nature, plantations, restauration de milieux, inventaires participatifs ;
- associer les collaborateurs à la définition des projets financés (vote pour des projets de forêt, de zones humides, de renaturation d’espaces proches du siège, etc.) ;
- intégrer la biodiversité dans les politiques RH : QVT, marque employeur, formation, engagement des comités Jeunes.
Les études montrent aussi que les citoyens attendent fortement les entreprises sur ces sujets, et qu’ils perçoivent négativement les démarches purement communicationnelles. Travailler sérieusement sur la biodiversité, c’est donc aussi un levier puissant de cohésion interne et d’attractivité.
Le risque de greenwashing est réel, surtout sur la biodiversité, car les indicateurs sont plus complexes que pour le carbone. Pour le limiter, quelques principes simples :
1. Partir des impacts réels :
- cartographier les impacts et dépendances plutôt que lancer d’emblée un “projet vitrine” ;
- définir des priorités d’action cohérentes avec la matérialité des enjeux.
2. S’engager sur des objectifs précis et vérifiables :
- surfaces restaurées, types d’habitats, continuités écologiques, indicateurs de suivi (présence d’espèces, qualité des sols, etc.) ;
articulation avec les cadres existants (CSRD, TNFD, stratégies nationales et européennes).
3. S’appuyer sur des partenaires crédibles :
- projets portés par des acteurs ayant une expertise forestière ou écologique réelle, des référentiels techniques, des audits ou évaluations externes : EcoTree, par exemple ;
- transparence sur les coûts, les limites, les risques et les co-bénéfices.
4. Aligner communication et action :
- communiquer après avoir agi, ou en expliquant clairement ce qui est en phase pilote ;
- accepter de parler aussi des contraintes, des arbitrages et des progrès à faire.
Une démarche “entreprise biodiversité” crédible ne cherche pas à masquer les impacts négatifs, mais à les réduire, puis à contribuer positivement à la restauration des écosystèmes.
Pour une entreprise, il est rarement réaliste de concevoir seule des projets de restauration de la biodiversité : cela demande une expertise forestière, écologique, réglementaire et de terrain.
Des acteurs spécialisés peuvent :
- identifier des sites à fort enjeu écologique (forêts dégradées, zones humides, milieux ouverts, continuités écologiques à recréer) ;
- concevoir des projets alignés avec les meilleures pratiques (sylviculture proche de la nature, solutions fondées sur la nature, restauration d’habitats…) ;
- assurer un suivi scientifique dans le temps (indicateurs biodiversité, protocoles de suivi, reporting) ;
- fournir un cadre clair pour l’entreprise : gouvernance du projet, traçabilité des financements, reporting compatible RSE/CSRD.
Un partenaire comme EcoTree permet ainsi de transformer une intention (“préserver la biodiversité”) en projets concrets, mesurables et audités, qui font sens pour les équipes, les clients et les territoires. L’entreprise garde la maîtrise de sa stratégie et de ses messages, tout en s’appuyant sur un savoir-faire opérationnel et écologique éprouvé.