16 sept. 2020
Portrait d’Esther, nouvelle customer success manager
Arrivée chez EcoTree au premier septembre 2020, Esther a pour mission de construire le nouveau pôle de Customer Success Manager.
Arrivée chez EcoTree au premier septembre 2020, Esther a pour mission de construire le nouveau pôle de Customer Success Manager. Nous lui avons demandé de présenter ce nouveau service, de nous retracer son parcours et ce qui l’a attirée chez EcoTree.
Esther, en quoi consiste ce nouveau poste de customer success manager ?
Esther : Ce n’est pas si facile à définir, puisque l’une de mes missions est précisément d’en tracer les contours dans les mois qui viennent, et de créer un cadre sur-mesure. Mais, globalement, je fais partie de l’équipe de Géraldine, en tant que commerciale, avec des objectifs de vente à réaliser, et j’assume en plus la mission d’accompagner nos clients par le biais d’une nouvelle manière de communiquer et en développant un marketing BtoB personnalisé. Mon but est de comprendre leurs besoins, leurs attentes, de les fidéliser et d’identifier les éventuels freins.
Tu es donc amenée à travailler avec les entreprises ?
E. : Un de mes rôles est en effet de fidéliser les entreprises clientes. C’est un travail que je dois mettre en place avec l’équipe du marketing à destination du BtoB, qui est pour l’instant représenté par le pôle innovation. J’ai à coeur de cerner les besoins de nos clients, et d’apprendre à bien les connaître, pour pouvoir leur proposer des offres qui leur correspondent et leur simplifier la tâche autant que possible. Nous allons travailler ensemble sur le long terme.
Quand as-tu pris tes fonctions exactement ?
E. : Le premier septembre 2020. C’est tout récent.
Et avant cela ?
E. : J’ai travaillé deux ans chez Bird Office, une société organisatrice d’événements dédiés aux entreprises. Là, j’ai travaillé la première année comme business developer, et la seconde comme customer success.
Et du côté des études ?
E. : J’ai étudié à l’ESCE Paris. Je suis diplômée d’un Master 2 de Marketing International et Commerce International. Dans ce cadre, j’ai fait deux échanges à l’étranger et trois stages, avant d’intégrer Bird Office.
Comment es-tu arrivée chez EcoTree ?
E. : C’est une entreprise dont j’avais entendu parler il y a deux ans. Je cherchais déjà à travailler dans le secteur du développement durable, mais l'opportunité de travailler chez Bird Office s’est présentée. Comme l’événementiel m’intéressait aussi, je l’ai saisie, mais le confinement m’a fait prendre conscience que je voulais vraiment revenir à l’essentiel. Et pour moi, c’est l’environnement. J’ai vu passer une offre de stage de la part d’EcoTree. J’en ai profité pour prendre contact avec Pierre-François, un des co-fondateurs. Il en est ressorti qu’ils pensaient recruter un customer success manager d’ici un an, et cela s’est finalement fait plus tôt que prévu. C’est ainsi que j’ai été recrutée.
Comment expliques-tu cette sensibilité à la nature que tu as développée ?
E. : J’ai un goût très prononcé pour la forêt, même si j’étais incapable d’expliquer comment fonctionne et s’entretient une forêt avant d’arriver chez EcoTree. Je suis toujours partante pour aller camper un week-end dans la forêt, ou seulement y marcher la journée. Je suis dans le scoutisme depuis huit ans, ce qui m’amène à partir camper régulièrement dans la nature.
Tu es pourtant née à Paris ?
E. : Oui, je suis née à Paris, où j’ai grandi, c’est peut-être ce qui explique mon besoin d’évasion dans la nature. Mes parents y sont également très sensibles. Cet été, nous sommes partis marcher en famille dans les Pyrénées. L’an dernier, nous sommes partis marcher dans les Cévennes avec un âne... J’ai toujours vu ma mère s’occuper de son compost et s’intéresser à l’écologie. Le vélo est pour nous un mode de déplacement tout à fait naturel. J’ai été éduquée dans le respect de ce que je consomme, à faire attention aux déchets que je produis, à ne pas jeter n’importe quoi. C’est à la fois une évidence pour moi de travailler dans une entreprise qui promeut l’écologie, et un bonheur de pouvoir le faire.
Le sens, c’est ce qui t’importe ?
E. : Oui beaucoup ! L’événementiel m’intéressait à la sortie de mes études mais aujourd'hui, je sens qu'il m'est plus naturel de m'engager sur des sujets environnementaux, qui me tiennent à cœur et qui sont en plus au centre des enjeux actuels.
Et comment te sens-tu, après une première quinzaine dans les locaux d’EcoTree ?
E. : Très bien. Les collègues sont tous très accessibles, et il m’est possible de parler à tous librement. Les cofondateurs prennent du temps pour m’expliquer qui ils sont, comment fonctionne l’entreprise, quelle est leur vision à court, moyen et long terme. J’ai déjà suivi des formations transverses, afin de comprendre le fonctionnement d’une forêt. Il y a un vrai partage de connaissances, et j’apprends beaucoup de choses. La première semaine, j’ai été envoyée au campus du C3D de la Fondation GoodPlanet de Yann-Arthus Bertrand, alors que je n’avais pas deux jours d’ancienneté. Puis, la semaine suivante, j’étais au Salon Produrable, où nous avons rencontré de nombreux acteurs engagés dans l’écologie. C’est une belle marque de confiance que de m’avoir mise directement dans le bain.